quand Lucy retourne à son état de « Nyu », Nana ne peut pas la sentir ; dans le manga, Nana ne peut pas également sentir Mariko quand elle est blessée et retourne à une personnalité semblable à Nyu.

Leurs pouvoirs impliquent l'utilisation d'armes invisibles, connus comme des "vecteurs" qui peut saisir les choisit et d'impact que Si elles sont solides, mais aussi devenir inconsistante et traverser les objets. Ils peuvent aussi   trancheé aussi, qui sont comment Diclonius tue leurs victimes.ainsi, ce qui est de savoir . Les vecteurs ont d'habitude une gamme limitée de quelques mètres, mais la longueur varie entre Diclonius; les vecteurs de Lucy peuvent s'étendre à 2 mètres; Nana peut atteindre 5 mètres et Mariko est le plus long, avec une gamme de 11 mètres. Vecteurs  généralement  les nombre sont  limité de quelques mètres, mais longueur la varie entre Diclonius; vecteurs Lucy sont en mesure d'étendre à 2 mètres; Nana peut atteindre 5 mètres et Mariko sont les plus longs, avec une portée de 11 mètres. Diclonius.

la ou la série a été faite  

Le lieu de représentation de Elfen Lied est la ville japonaise de Kamakura, située à près de 50 km au sud ouest de Tokyo. Le manga, et plus spécialement l’anime, présentent de manière très détaillée divers lieux de la ville et ses alentours, comme la plage Yuigahama, les sanctuaires de Sasuke Inari ou Zeniarai Benzaiten, ainsi que l’île proche d’Enoshima.

Une grande partie de l'intrigue de Elfen Lied tourne autour d'une espèce connue sous le nom Diclonius qui, comme expliqué dans la version manga original, il sont un développement évolutif de l'homme.Leurs corps sont très semblables aux humains, à l'évidence seule différence étant les deux  corne protubérances dont on dit qu'ils se rapportent à leurs pouvoirs télékinésiques.  Dans le manga, il est mentionné que Diclonius serait tomber dans un coma si elles perdent une de c'est cornes et de ne jamais revenir à leur état s'ils perdent les deux cornes.  Cependant, Lucy parvient à se remettre dans  l'anime, 

des lien vidéo

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Amv Elfen lied

AMV elfen lied le rejet

Elfen Lied ~ goulish intented

Elfen Lied Frozen

Elfen Lied My Mind's Eye

Elfen Lied Le Temps Qui Passe

Elfen Lied Trailer Apocalyptique

voila don je fait cette article pour vous dire que
je crois bien que j'ai tout mi sur le manga
  je vais continué a venir ajouter des article voila donc merci a touts et toute selle e se que sont venu me mettre des com's =) et merci aussi a tout mes amis =)
et je dit pas merci au personne qui me mon des bâton dans les roue ** donc
j'espére que je vous et donner la passion Elfen lied

et un grand merci a Nagato-

Spoil:de moi =^^=

non non a la fin elle n'est pas morte lucy

Rappelez vous de la fille qui a mis la photo dans sa poche c'est elle qui est derrière la porte

info

moi j'ai lu le manga et a la fin Kouta récupère une lettre que lucy lui avait laissé a leur 1er rencontre et en fait son vrai nom est Kaede, Lucy c'est son nom de labo qui fait référence a la découverte du 1er homme préhistorique, faut lire le manga sinon c'est compliqué, l'anime en fait il fini qu'a la moitié de la vrai histoire.

Evidemment, Elfen Lied ne peut pas plaire à tout le monde. Une œuvre marquante l’est parce qu’elle s’attaque directement aux sentiments du spectateur bien au-delà de l’intrigue, ce qui, par définition, divise les foules dont la sensibilité souvent exacerbée par la psychologie retorse du... L’intérêt particulièrement discutable de cette phrase pompeuse que je finirai un autre jour n’aura certes pas échappé à votre cerveau .par un excès shônen : l’appréciation d’Elfen Lied dépend entièrement de votre degré d’attachement aux personnages et aux évènements tragiques qu’ils traversent, d’autant plus que l’intrigue d’Elfen Lied est principalement axée sur les relations entre les personnages. C’est pourquoi les scènes que je décris comme cultes pourront paraître très fades à certains dont le manque de goût n’est plus à démontrer (et je suis subjectif si je veux). En bref, si vous restez imperméables au charisme de Lucy, votre relation avec cet animé est sacrément compromise.
Pour tout chef-d’œuvre, on adore ou on déteste, mais impossible de rester indifférent. Elfen Lied n’y fait pas exception, et accentue ce gouffre du fait des nombreux choix très discutables de l’auteur. A vous de voir si vous pardonnez ces écarts au profit du côté sublime de l’œuvre…

le script reste

bien agen­cé, et ce qui fait la vraie force de cet anime est la ca­pa­ci­té du scé­na­riste à jon­gler entre l'hor­reur pure et les mo­ments plus cha­leu­reux pour évi­ter

d'aller trop loin dans la sen­si­ble­rie et que le spec­ta­teur ne se perde pas dans un dé­luge d'émo­tions au­to-des­truc­trices. Des mo­ments presque heu­reux  s'ils n'étaient pas tou­jours en­tâ­chés par une am­biance glauque .
Une vraie per­for­mance, une série choc qui uti­lise au mieux son court for­mat pour frap­per les es­prits et qui nous laisse com­plè­te­ment les­si­vés et im­pres­sion­nés de­vant un final pro­pice à toutes les in­ter­ro­ga­tions. Après tout, qui sont li ?

Drames et che­veux roses

Elfen Lied est un drame psy­cho­lo­gique pro­fond et violent dou­blé d'une dose de thril­ler et pétri d'une at­mo­sphère nos­tal­gique et ro­man­tique. Toutes les émo­tions y sont exa­cer­bées et les com­bats y sont clai­re­ment gores, au point qu'une cer­taine force men­tale est né­ces­saire pour sup­por­ter le poids de cette his­toire émou­vante, ter­ri­fiante  âmes sen­sibles, abs­te­nez-vous même si c'est dom­mage) qui  dans le sen­ti­men­ta­lisme et l'éxa­gé­ra­tion. Enfin la plu­part du temps, il faut bien en conve­nir car la mode des "jeunes filles ul­tra-ka­waii à che­veux roses et à corps de lo­li­ta" est très bien mise en avant par les créa­teurs de la série, qui jouent sur cet effet pour faire s'api­toyer le spec­ta­teur sur le des­tin de ces êtres mau­dits, et faire res­sor­tir leur in­no­cence par contraste avec la vio­lence et le mal­heur qui sont en­fouis en eux. On re­trouve ainsi le thème très dra­ma­tique de la dif­for­mi­té et du rejet des per­sonnes qui en sont at­teintes, qui ne peuvent s'in­té­grer dans la so­cié­té, le tout dans une am­biance un peu lar­moyante (sur­tout l'OAV,  épi­sode 10 et demi, qui pré­sente un flash-back très éclai­rant sur le des­tin des pro­ta­go­nistes, pour un ré­sul­tat for­te­ment mé­lo­dra­ma­tique), mais tou­jours assez san­glante et mys­té­rieuse pour gar­der cet étrange par­fum, entre hor­reur  et fan­tas­tique, qui nous fait en­core une fois nous poser des ques­tions sur les dé­rives de la science,